Traduction: G.M.
Gluten-Free Diet Has No Benefit for Children With Autism, Study Finds
University of Rochester researchers also restricted casein in the diet and found no effect on behavioral symptoms
Les chercheurs de l'Université de Rochester ont également limité la caséine dans le régime alimentaire et n'ont trouvé aucun effet sur les symptômes comportementaux
A diet popular as an alternative treatment for autism doesn’t appear
to improve behaviors or symptoms of the condition, according to a small
but rigorously conducted study published this month in the Journal of
Autism and Developmental Disorders.
The new work, conducted by
researchers at the University of Rochester Medical Center, examines the
gluten-free, casein-free diet and offers what many experts in the field
say perhaps the highest-quality evidence to date that eliminating
proteins found in wheat and dairy doesn’t improve autism symptoms.
Un régime populaire comme traitement alternatif traitement pour l'autisme
ne semble pas améliorer les comportements ou les symptômes du trouble,
selon une étude petite mais rigoureuse publiée ce mois-ci dans
le Journal de l'autisme et des troubles du développement.Le
nouveau travail, menée par des chercheurs de l'Université de Rochester
Medical Center, examine le régime sans caséine sans gluten et propose ce que
de nombreux experts dans le domaine disent peut-être la preuve la plus forte à ce jour que l'élimination des protéines trouvées dans le blé
et les produits laitiers n'améliore pas les symptômes de l'autisme.
Many
interventions for autism have been well-studied and demonstrate
benefits, particularly if begun in children very young, including
applied behavior analysis and developmental therapies.
But many
families are willing to try a range of unproven therapies in an effort
to do whatever they can to help their children, say clinicians and
advocates. Some in the autism community have long suspected that diet
and food additives have a negative impact on children with the
developmental disorder, which is characterized by social and
communication deficits.
De nombreuses interventions dans l'autisme ont été bien étudiées et
démontrent les avantages, en particulier si elles sont commencées chez les enfants
très jeunes, comprenant l'analyse comportementale appliquée et les thérapies développementales.Mais
de nombreuses familles sont prêtes à essayer une gamme de thérapies non
prouvées dans un effort pour faire tout ce qu'elles peuvent pour aider
leurs enfants, disent les cliniciens et les défenseurs. Certains dans la communauté de l'autisme ont longtemps soupçonné que
l'alimentation et les additifs alimentaires ont un impact négatif sur
les enfants avec un trouble du développement, qui se caractérise par des
déficits sociaux et de communication.
Anecdotal reports about restrictive
diets improving or even erasing symptoms in children have prompted many
parents to try such diets—especially, over the past 15 years or so,
those restricting gluten, a protein found in wheat, and casein, present
in dairy. At the University of Rochester’s Kirch Developmental Services
Center, where some 1,200 children with autism are seen a year, about 1/3
have been on such a diet at some point, according to Susan Hyman,
division chief of neurodevelopmental and behavioral pediatrics there and
the lead author of the newly published paper.
Des
rapports anecdotiques au sujet de l'amélioration des régimes
restrictifs ou même la disparition des symptômes chez les enfants ont incité de
nombreux parents à essayer de tels régimes, surtout, au cours des 15
dernières années ou plus, ceux restreignant le gluten, une protéine
présente dans le blé, et la caséine, présente dans les produits
laitiers. Au centre des services développementaux de l'Université de Kirch, où
quelque 1200 enfants avec autisme sont vus en une année, environ 1/3
ont été sur un tel régime à un moment donné, selon Susan Hyman, chef de
la division de la pédiatrie neurodéveloppementale et comportementale là et le auteure principale de l'article publié récemment.
One theory behind the gluten- and casein-free diet is that children with autism have trouble digesting these proteins and, because of a “leaky gut”, absorb components of these compounds that lead to physical discomfort and behavioral symptoms, according to Dr. Hyman.
Research evidence about the diet, however, has been sparse and mixed. One major limitation of previous work is that usually parents know that the child is on the diet, leading to potential bias.
Experts’ biggest worry about the diet is that children may not get all necessary nutrients, such as calcium and vitamin D, once major food groups are eliminated. The diet also can be difficult for the parents to administer and the child to endure, particularly since many with autism tend to be picky eaters.
Research evidence about the diet, however, has been sparse and mixed. One major limitation of previous work is that usually parents know that the child is on the diet, leading to potential bias.
Experts’ biggest worry about the diet is that children may not get all necessary nutrients, such as calcium and vitamin D, once major food groups are eliminated. The diet also can be difficult for the parents to administer and the child to endure, particularly since many with autism tend to be picky eaters.
Une
théorie qui sous-tend le régime sans gluten ni caséine est que les enfants avec un autisme ont du mal à digérer ces protéines et, en raison d'un «intestin perméable", absorbent les composants de ces composés qui conduisent à
symptômes d'inconfort physiques et comportementaux, selon le Dr Hyman .Les données de recherche sur le régime alimentaire, cependant, ont été clairsemées et mitigées. Une limitation majeure des travaux précédents est que souvent les
parents savent que l'enfant suit le régime alimentaire, conduisant à
un biais potentiel.Le grand
souci des experts sur le régime alimentaire est que les enfants ne
peuvent pas obtenir tous les nutriments nécessaires, tels que le calcium
et la vitamine D, une fois que les principaux groupes d'aliments sont
éliminés. Le régime alimentaire peut aussi être difficile pour les parents à administrer et pour l'enfant à supporter, d'autant que nombre de personnes avec autisme ont tendance à être des mangeurs difficiles.
Dr. Hyman and her team wanted to test, in as scientifically rigorous a manner as possible, whether the diet had benefits. Fourteen young children between three and five years old with a diagnosis of autism were put on a gluten- and casein-free diet for 30 weeks, working with a registered dietitian to make sure they were getting the necessary nutrition.
After they got used to the diet, children were “challenged” weekly for 12 weeks either with a food that contained gluten, casein, both, or a placebo. None of the researchers, parents or children knew if they were getting a real food challenge or a placebo.
Dr. Hyman and her group worked carefully with a kitchen at the university clinical research center to create foods with and without gluten and casein. The with-without diets mimicked each other so closely in taste and texture that children couldn’t detect a difference.The amount of gluten in the challenge was the equivalent of what’s found in two chocolate-chip cookies, and the casein in a half-cup of milk. Le Dr Hyman et son équipe ont voulu tester, d'une manière aussi scientifiquement rigoureuse que possible, si le régime avait des avantages. Quatorze jeunes enfants entre trois et cinq ans avec un diagnostic d'autisme ont été soumis à un régime sans gluten et sans caséine pendant 30 semaines, en travaillant avec une diététiste pour s'assurer qu'ils obtenaient les éléments nutritifs nécessaires.Après qu'ils ils se soient habitués à l'alimentation, les enfants ont été "défiés "hebdomadairement durant 12 semaines, soit avec un aliment qui contient du gluten, de la caséine, les deux à la fois, ou un placebo. Aucun des chercheurs, des parents ou des enfants ne savait si les enfants recevaient l'aliment défi ou un placebo.Le Dr Hyman et son groupe ont travaillé attentivement avec une cuisine au centre de recherche clinique de l'université pour créer des aliments avec et sans gluten et sans caséine. Les régimes avec ou sans étaient imités si étroitement au niveau du goût et de la texture que les enfants ne pouvaient pas détecter une différence. La quantité de gluten dans le défi était l'équivalent de ce qui se trouve dans deux biscuits aux pépites de chocolat, et la caséine dans une demi-tasse de lait.
After they got used to the diet, children were “challenged” weekly for 12 weeks either with a food that contained gluten, casein, both, or a placebo. None of the researchers, parents or children knew if they were getting a real food challenge or a placebo.
Dr. Hyman and her group worked carefully with a kitchen at the university clinical research center to create foods with and without gluten and casein. The with-without diets mimicked each other so closely in taste and texture that children couldn’t detect a difference.The amount of gluten in the challenge was the equivalent of what’s found in two chocolate-chip cookies, and the casein in a half-cup of milk. Le Dr Hyman et son équipe ont voulu tester, d'une manière aussi scientifiquement rigoureuse que possible, si le régime avait des avantages. Quatorze jeunes enfants entre trois et cinq ans avec un diagnostic d'autisme ont été soumis à un régime sans gluten et sans caséine pendant 30 semaines, en travaillant avec une diététiste pour s'assurer qu'ils obtenaient les éléments nutritifs nécessaires.Après qu'ils ils se soient habitués à l'alimentation, les enfants ont été "défiés "hebdomadairement durant 12 semaines, soit avec un aliment qui contient du gluten, de la caséine, les deux à la fois, ou un placebo. Aucun des chercheurs, des parents ou des enfants ne savait si les enfants recevaient l'aliment défi ou un placebo.Le Dr Hyman et son groupe ont travaillé attentivement avec une cuisine au centre de recherche clinique de l'université pour créer des aliments avec et sans gluten et sans caséine. Les régimes avec ou sans étaient imités si étroitement au niveau du goût et de la texture que les enfants ne pouvaient pas détecter une différence. La quantité de gluten dans le défi était l'équivalent de ce qui se trouve dans deux biscuits aux pépites de chocolat, et la caséine dans une demi-tasse de lait.
Though the researchers initially wanted more children in the study, ultimately only 14 completed it because of both the difficulty of persuading families to sign up and the number of dropouts, the researchers said. Some families left because their children complained about the diet.
The scientists recorded a range of behaviors in the lab after each food challenge and asked parents to monitor others at home, including a range of autism symptoms, sleep patterns and bowel movements.
The data showed no significant change in any of the outcomes between when they were challenged with gluten or casein and when they were given a placebo. “At this point in time we do not have evidence that the gluten-free, casein-free diet will improve the symptoms that we measured in young children with autism,” says Dr. Hyman. “But that doesn’t mean other aspects of nutrition shouldn’t be studied.”
Another takeaway from the study is that with the proper monitoring and consultation, the diet can be administered safely, Dr. Hyman says.
The scientists recorded a range of behaviors in the lab after each food challenge and asked parents to monitor others at home, including a range of autism symptoms, sleep patterns and bowel movements.
The data showed no significant change in any of the outcomes between when they were challenged with gluten or casein and when they were given a placebo. “At this point in time we do not have evidence that the gluten-free, casein-free diet will improve the symptoms that we measured in young children with autism,” says Dr. Hyman. “But that doesn’t mean other aspects of nutrition shouldn’t be studied.”
Another takeaway from the study is that with the proper monitoring and consultation, the diet can be administered safely, Dr. Hyman says.
Bien
que les chercheurs aient initialement voulu plus d'enfants dans l'étude,
finalement, seulement 14 l'ont terminé, à la fois du fait des difficultés à persuader les familles de s'inscrire et à cause du nombre d'abandons, disent les chercheurs. Certaines familles ont abandonné parce que leurs enfants se sont plaints de l'alimentation.Les scientifiques ont enregistré une gamme de comportements dans le
laboratoire après chaque défi alimentaire et ont demandé aux parents d'en surveiller d'autres à la maison, y compris une gamme de symptômes de
l'autisme, les habitudes de sommeil et les mouvements de l'intestin.Les
données ont montré aucun changement significatif dans l'un des
résultats entre le moment où ils étaient exposés à du gluten ou de la caséine
et quand ils ont reçu un placebo. "A
ce moment, nous ne disposons pas de preuves que le régime sans caséine
ni gluten permettra d'améliorer les symptômes que nous avons mesurées
chez les jeunes enfants avec autisme», dit le Dr Hyman. "Mais cela ne signifie pas d'autres aspects de la nutrition ne doivent pas être étudiés."
Un autre enseignement de l'étude est que, avec le suivi et la
consultation proprement dite, l'alimentation peut être administré en
toute sécurité, explique le Dr Hyman.
Susan E. Levy, a neurodevelopmental-disabilities pediatrician at the Children’s Hospital of Philadelphia, who wasn’t involved with the current study, called the study “really well-designed” and a nice piece of evidence in helping to disentangle whether the diet really benefits children with autism or not.
“We need to be skeptical about treatments that really don’t have evidence,” Dr. Levy says. “Even if they’re benign, we don’t want families spending time and money that may take away time from treatments we know are effective.”
She also cautioned that while dietary restrictions and supplements for autism are generally unsupported by evidence but likely not harmful, some other alternative treatments haven’t been well-studied and are potentially dangerous, and families should stay away from these. They include chelation or removing heavy metals from the body, stem cell therapy and hyperbaric oxygen therapy, says Dr. Levy.
Susan E. Levy, a neurodevelopmental-disabilities pediatrician at the Children’s Hospital of Philadelphia, who wasn’t involved with the current study, called the study “really well-designed” and a nice piece of evidence in helping to disentangle whether the diet really benefits children with autism or not.
“We need to be skeptical about treatments that really don’t have evidence,” Dr. Levy says. “Even if they’re benign, we don’t want families spending time and money that may take away time from treatments we know are effective.”
She also cautioned that while dietary restrictions and supplements for autism are generally unsupported by evidence but likely not harmful, some other alternative treatments haven’t been well-studied and are potentially dangerous, and families should stay away from these. They include chelation or removing heavy metals from the body, stem cell therapy and hyperbaric oxygen therapy, says Dr. Levy.
Susan
E. Levy, une pédiatre spécialiste des troubles neurodéveloppementaux à l'Hôpital pour
enfants de Philadelphie, qui n'a pas participé à l'étude, a déclaré l'étude "vraiment bien conçue" et représentant un beau morceau de preuves pour aider à
démêler la question de savoir si le régime alimentaire présente vraiment des avantages pour les enfants avec autisme ou non."Nous devons être sceptiques quant à des traitements qui ne reposent pas vraiment pas de preuves», dit le Dr Levy. «Même si elles sont bénignes, nous ne voulons pas que les familles dépensent du temps et de l'argent qui seraient pris sur les traitements dont nous savons qu'ils sont efficaces."Elle
a également mis en garde que si les restrictions alimentaires et les
suppléments pour l'autisme sont généralement non étayés par des preuves, mais
probablement pas nuisibles, certains autres traitements alternatifs n'ont
pas été bien étudiés et sont potentiellement dangereux, et les familles devraient rester loin de ceux-ci. Ils comprennent la chélation ou l'élimination des métaux lourds de
l'organisme, la thérapie par cellules souches et la thérapie à l'oxygène
hyperbare, explique le Dr Levy.
Replicating these findings in a similarly high-quality study in a larger group of participants will be important to determine conclusively that the diet isn’t effective in children with autism, says Linda Bandini, a professor at the University of Massachusetts Medical School and Boston University, who conducts research on nutrition, physical activity and obesity in children with autism spectrum disorders and wasn’t involved in the study.
Children with autism are so different from one another that it’s difficult generalize from the small study that the diet wouldn’t work for any children with autism, she says.La reproduction de ces conclusions dans une étude similaire de haute qualité dans un groupe plus large de participants sera important pour déterminer de façon concluante que le régime n'est pas efficace chez les enfants avec autisme, explique Linda Bandini, un professeur à l'Université du Massachusetts Medical School et de l'Université de Boston , qui mène des recherches sur la nutrition, l'activité physique et l'obésité chez les enfants avec des troubles du spectre de l'autisme et qui n'a pas participé à l'étude.Les enfants autistes sont si différents les uns des autres qu'il est difficile de généraliser à partir de la petite étude que le régime ne fonctionne pas avec les enfants avec autisme, dit-elle.
Replicating these findings in a similarly high-quality study in a larger group of participants will be important to determine conclusively that the diet isn’t effective in children with autism, says Linda Bandini, a professor at the University of Massachusetts Medical School and Boston University, who conducts research on nutrition, physical activity and obesity in children with autism spectrum disorders and wasn’t involved in the study.
Children with autism are so different from one another that it’s difficult generalize from the small study that the diet wouldn’t work for any children with autism, she says.La reproduction de ces conclusions dans une étude similaire de haute qualité dans un groupe plus large de participants sera important pour déterminer de façon concluante que le régime n'est pas efficace chez les enfants avec autisme, explique Linda Bandini, un professeur à l'Université du Massachusetts Medical School et de l'Université de Boston , qui mène des recherches sur la nutrition, l'activité physique et l'obésité chez les enfants avec des troubles du spectre de l'autisme et qui n'a pas participé à l'étude.Les enfants autistes sont si différents les uns des autres qu'il est difficile de généraliser à partir de la petite étude que le régime ne fonctionne pas avec les enfants avec autisme, dit-elle.
Le Dr. Hyman, the study author, says in her clinical practice she tells families that a gluten-free, casein-free diet doesn’t appear to be helpful, but if they are insistent on trying it while also giving their child evidence-based interventions, she would support them. “I can understand, with any chronic illness, people who address things with wellness and things they have control over,” like diet, says Dr. Hyman.
Elaine Buchovecky, a nurse from Victor, N.Y., whose 14-year-old son Nicholas was in the study, said she had heard of the diet before but hadn’t tried it. “To me it was kind of no-brainer,” she says. “If it helps him, great.”
However, she didn’t see much of an impact when they made the changes. In fact, during one of the challenges, she and her husband were convinced that Nicholas was getting gluten but found out afterward that he received a placebo that week.
They continued their son on the diet for a brief time after the study ended until one day he got into a box of Cheerios, which have gluten in them, and he showed no difference in behavior after eating them. Her husband said there are so many things he won’t eat, if he likes this, let him eat it, recalls Ms. Buchovecky.
Elaine Buchovecky, a nurse from Victor, N.Y., whose 14-year-old son Nicholas was in the study, said she had heard of the diet before but hadn’t tried it. “To me it was kind of no-brainer,” she says. “If it helps him, great.”
However, she didn’t see much of an impact when they made the changes. In fact, during one of the challenges, she and her husband were convinced that Nicholas was getting gluten but found out afterward that he received a placebo that week.
They continued their son on the diet for a brief time after the study ended until one day he got into a box of Cheerios, which have gluten in them, and he showed no difference in behavior after eating them. Her husband said there are so many things he won’t eat, if he likes this, let him eat it, recalls Ms. Buchovecky.
Le Dr
Hyman, l'auteure de l'étude, explique que dans sa pratique clinique, elle dit aux familles qu'un régime sans gluten et sans caséine ne semble pas être
utile, mais si elles insistent pour l'essayer
tout en donnant leur enfant des interventions fondées sur des preuves, elle les soutient. "Je peux comprendre, dans toute maladie chronique, les personnes qui abordent des choses sous l'angle du bien-être et des choses dont elles ont le
contrôle», comme le régime alimentaire, explique le Dr Hyman.Elaine
Buchovecky, une infirmière de Victor, NY, dont Nicolas fils de 14 ans
était dans l'étude, a dit qu'elle avait entendu parler du régime avant, mais n'avait pas essayé. "Pour moi, c'était sans problème», dit-elle. "Si cela l'aide, tant mieux."Toutefois, elle n'a pas vu beaucoup d'impact quand ils ont fait les changements. En fait, au cours de l'un des défis, elle et son mari étaient
convaincus que Nicolas prenait du gluten, mais ils ont découvert plus tard qu'il
a reçu un placebo cette semaine là.Ils
ont continué le régime alimentaire avec leur fils pendant une brève
période après la fin de l'étude jusqu'au jour où il a pris une boîte de Cheerios, qui contenaient du gluten, et il n'a montré aucune
différence de comportement après les avoir mangés. Son mari a dit, il y a tellement de choses qu'il ne veut pas manger, s'il aime cela, laissons le laisser manger, rappelle Mme Buchovecky.
Write to Shirley S. Wang at shirley.wang@wsj.com
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