Affichage des articles dont le libellé est medicaments. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est medicaments. Afficher tous les articles

27 septembre 2012

Medications for Adolescents and Young Adults With Autism Spectrum Disorders: A Systematic Review

Traduction: G.M.

Pediatrics, 2012 Sep 24 

Les médicaments pour les adolescents et les jeunes adultes atteints de troubles du spectre autistique: une revue systématique

Dove D , Warren Z , McPheeters ML , Taylor JL , Sathe NA , Veenstra-Vanderweele J . 

Source 

Départements de pédiatrie. 

CONTEXTE ET OBJECTIF 

Bien que de nombreux traitements ont été étudiés chez les enfants atteints de troubles du spectre autistique (TSA), moins d'attention a été portée sur les interventions qui peuvent être utiles chez les adolescents et les jeunes adultes atteints de TSA. 
Le but de cette étude était d'examiner systématiquement les preuves concernant les traitements médicamenteux pour les personnes entre les âges de 13 et 30 ans atteints de TSA. 

MÉTHODES

Les bases de données Medline, PsycINFO, ERIC et ont été fouillées (1980-Décembre 2011), de même que les listes de références des articles retenus. Deux enquêteurs ont évalué indépendamment des études selon des critères prédéterminés d'inclusion/exclusion . 
Deux enquêteurs ont indépendamment extrait les données concernant les caractéristiques des participants et des interventions, les techniques d'évaluation et les résultats et ils ont affecté la qualité globale et la force des éléments de preuve sur la base de critères prédéterminés.

RÉSULTATS

Huit études de médicaments ont été identifiés qui portait sur des personnes de 13 à 30 ans atteintes de TSA; 
4 de ces études étaient d'assez bonne qualité. 
La force de la preuve était insuffisante pour tous les résultats associés aux médicaments testés dans cette population, mais les 2 études disponibles sur le médicament antipsychotique atypique rispéridone dans cette tranche d'âge étaient compatibles avec les éléments de preuve modérée chez les enfants atteints de TSA pour traiter les problèmes de comportement, y compris l'agression, et la force de preuve élevé d'événements indésirables, y compris la sédation et le gain de poids. 

CONCLUSIONS

Il y a un manque flagrant de données sur l'utilisation des traitements médicamenteux pour les adolescents et les jeunes adultes atteints de TSA. 
La preuve de l'utilisation de la rispéridone dans cette tranche d'âge est insuffisante prise isolément, mais est compatible avec les données de la population d'enfants atteints de TSA.

12 avril 2012

Could autism be reversed with a pill?

Traduction: J.V.  


11/04/2012 Par Karen Weintraub, correspondante du Globe 
Que faire si l'autisme pouvait être changé avec un comprimé ? 
Un nombre croissant de recherches chez la souris et une poignée de personnes est en train de découvrir que l'autisme n'est pas une maladie dégénérative comme la maladie d'Alzheimer, mais une condition modifiable, comme, par exemple, l'épilepsie qui peut potentiellement être contrôlée. Une étude sortie mercredi dans la revue « Neuron » a constaté que des médicaments pouvaient corriger les problèmes de santé et le comportement de souris avec une maladie génétique connue pour aboutir à l'autisme dans la population. 
Le médicament, qui agit sur les synapses, ou les intervalles, entre les cellules cérébrales, a modifié une vaste gamme de symptômes souvent associés à l'autisme - comprenant le manque de sociabilité, la maladresse physique, et l'hyperactivité. 
Le plus surprenant, c'est que le médicament a marché sur des souris adolescentes, montrant que ces symptômes sont réversibles, même après la période critique du développement précoce du cerveau. "J'ai été ravi», a déclaré Mark Bear, le neuroscientifique du MIT qui a dirigé la recherche. 
Bear a aidé à fonder une société, Seaside Therapeutics, qui étudie actuellement un médicament similaire chez les personnes atteintes du X fragile, une maladie génétique qui mène souvent à l'autisme. Les souris dans l'étude ont eu le même changement génétique que celui des personnes. 
Roche et Novartis sont également en train étudier d'autres médicaments semblables, avec des essais d'efficacité devant être achevés dans environ un an. "Je ne peux pas vous dire combien c'est passionnant en ce moment, et avec quelle anxiété j'attends l'impact de ces essais cliniques," dit Bear. " Il semble que dans l'X fragile et peut-être d'autres causes d'autisme il s'agit essentiellement d'un problème métabolique." 
Le problème dans l'X fragile, a dit Bear, semble être qu'il y a trop de protéines qui sont produites à des moments entre les cellules cérébrales. Submergés de protéines venant d'une cellule cérébrale, les récepteurs dans une autre ne savent pas quelle protéine accepter, et, essentiellement, un embouteillage en résulte. Bear a dit qu'il avait été étonné, il y a plusieurs années, quand il s'est rendu compte qu'un rapprochement entre les cellules du cerveau pouvait causer la gamme complète des symptômes trouvés dans l'autisme. "Il est vraiment extraordinaire que ce récepteur semble donner lieu à de nombreux aspects de la maladie», a-t-il dit. Celle de Bear n'est pas la seule recherche à suggérer que l'autisme peut être réversible, même au-delà de l'enfance.
Dans une étude réalisée en 2007 dans la revue « Science » (couverte dans le Globe à l'époque), Adrian Bird, de l'Université d'Edimbourg, avait modifié les symptômes chez la souris adulte avec un « bug » [glitch] génétique différent - qui conduit à une autre condition proche de l'autisme, appelée le syndrome de Rett. L'utilisation de médicaments pour revenir en arrière sur le gène qui est désactivé dans le syndrome de Rett "conduit à une perte frappante des symptômes neurologiques élevés chez les animaux adultes immatures et matures," a conclu l'étude de Bird. 
Le mois dernier, une autre étude - cette fois dans Nature - a constaté que les symptômes dévastateurs de Rett pourraient être arrêtés chez les souris si elles ont eu une greffe de moelle osseuse. 
Ceci suggère que le système immunitaire joue un rôle dans le syndrome de Rett. Les souris avec syndrome de Rett vivent normalement pendant des semaines, mais après une greffe de moelle osseuse de souris saines, elles vivent beaucoup plus longtemps - au moins certaines d'entre elles sont encore en vie près d'un an plus tard, a déclaré Noel C. Derecki, le chercheur qui a dirigé l'étude à l'École de médecine de l'Université de Virginie. 
Derecki, et le principal auteur Jonathan Kipnis, professeur associé en Virginie, ont déclaré que leur travail suggère que la perte du gène MECP2 vue dans Rett affecte la capacité du cerveau à "faire sortir les déchets." «Ces cellules ont besoin d'être nettoyées, ainsi les débris ne s'accumulent pas», a déclaré Derecki, dont le grand-père dirigeait une entreprise de collecte des ordures. 
En renforçant le système immunitaire avec une greffe de moelle osseuse, les chercheurs ont restauré la capacité du cerveau de la souris à faire sortir les déchets. Encore une fois, leur conclusion était que l'autisme est probablement modifiable tout au long de la vie - que le comportement que nous voyons chez les personnes atteintes d'autisme est dû à des dysfonctionnements du cerveau, mais qu'il n'y a pas de détérioration du cerveau.
L'étape suivante consiste à faire leurs recherches sur les gens, pour trouver quel type de traitement sera le plus utile. Il n'est pas encore clair non plus si les conclusions sur les syndromes de Rett et de l'X fragile vont s'étendre aux 85% environ des personnes atteintes d'autisme qui ne disposent pas d'un bug génétique évident. 
Bear dit que les découvertes de la réversibilité chez les animaux plus âgés sont de bonnes nouvelles pour le test des médicaments, parce que c'est beaucoup plus facile d'étudier les médicaments sur les adultes que chez les enfants. En outre, a-t-il dit, un seul médicament peut ne pas suffire. 
Les souris ayant reçu le médicament pendant quatre mois se sont améliorées beaucoup plus que celles qui en ont reçu pendant un mois - ce qui suggère, dit-il, que le cerveau a besoin de s'adapter une fois que ses problèmes biologiques ont été résolus. Chez les personnes, dit Bear ; "ce n'est pas seulement le médicament qui va lever le voile [de l'autisme], mais il va permettre au voile d'être levé avec la thérapie comportementale appropriée. Et c'est vraiment ce que nous visons. "

31 décembre 2011

Pathways to Drug Development for Autism Spectrum Disorders

Traduction: G.M.

 Hampson DR, Gholizadeh S, Pacey LK. 

Source 
Département des Sciences Pharmaceutiques, Leslie Dan Faculty of Pharmacy, University of Toronto, Toronto, Ontario, Canada. 

Résumé 
Les troubles du spectre autistique (TSA) sont des troubles neurodéveloppementaux dont la prévalence a augmenté au cours des deux dernières décennies. 
Les traitements médicamenteux en cours pour les TSA et les troubles liés au syndrome X-fragile (FXS) et au  syndrome de Rett ciblent des symptômes spécifiques, mais ne traitent pas les étiologies de base sous-jacentes. Toutefois, en partie fondée sur une meilleure compréhension des fondements neurochimiques de FXS, la pharmacothérapie de ce syndrome a progressé jusqu'à l'élaboration d'essais cliniques de plusieurs traitements médicamenteux. 
En revanche, notre compréhension globale de la neuropathophysiologie des TSA est encore rudimentaire. Il y a de l'espoir que les connaissances et l'expérience acquises dans l'étude de l'X fragile et du syndrome de Rett puissent être applicables à la plus grande population des patients avec autisme. 
Dans cette revue, nous discuterons comment les avancées récentes dans notre compréhension de la biochimie et de neuropathologie de ces troubles pourrait conduire à de nouveaux traitements plus efficaces pour les TSA.

17 novembre 2006

Ped Med: Le combat des docteurs contre la peur d’un lien entre vaccin et autisme

Par LIDIA WASOWICZ
UPI Senior Science Writer

SAN FRANCISCO, 15 nov. (UPI) -- Beaucoup de praticiens expriment leur désespoir face à la persistance de ce qu’ils considèrent comme des accusations injustifiées de relation entre vaccins et autisme, et sur la profession médicale en général.
"Ce qui me navre, ce sont les gens qui affirment que les médecins ne leur diraient jamais la vérité, ce qu'ils pensent vraiment de ces choses, et que pour des raisons économiques, ils sont obligés de vacciner," a dit le Dr. Jeffrey Boscamp, spécialiste des maladies infectieuses, président de pédiatrie et médecin-principal à l'Hôpital pour Enfants Joseph M. Sanzari du Centre Médical Universitaire de Hackensack, dans New Jersey. "Rien n’est plus blessant que cela."
Et rien ne l'étonne davantage que des allégations de dissimulation de scandale, de la part du gouvernement, des compagnies pharmaceutiques et des médecins, sur les risques perçus des vaccins, a-t-il ajouté.
La législation des vaccins aux Etats-Unis est une des plus strictes au monde, affirment les autorités médicales.
« Le processus de développement, de test, de l’autorisation de mise sur le marché et du suivi des effets secondaires est un processus extrêmement complexe qui a probablement plus de systèmes de régulation que le gouvernement lui-même. » affirme le Dr. Charles Prober, professeur et président de pédiatrie à l’Université de Stanford.
A tel point que le nombre de fabricants de vaccins est passé de 26 en 1967 à 17 en 1980, et à juste cinq en 2004, disent les docteurs.
Plus récemment, un nouveau vaccin contre les rotavirus, le Rotarix de GlaxoSmithKline, a été introduit en janvier 2005 au Mexique – la première fois qu’une grande compagnie pharmaceutique évite l’Amérique du Nord et l’Europe pour sortir un vaccin, disent les médecins.
Ces arguments n’ont que peut d’effet sur les sceptiques. Ils considèrent que les études sur les vaccins sont biaisées et trouvent plus convaincantes les preuves des effets négatifs, sur un petit groupe d’enfants prédisposés génétiquement ou autrement, du thimerosal qui est toujours utilisé dans certains vaccins dont celui de la grippe, des combinaisons de virus même atténués dans d’autres, et/ou d’autres composants des vaccins.
De plus, ils sont toujours ébranlés par une série de révélations récentes sur ce qu’ils estiment être une conduite inappropriée de la part de ceux qui sont en charge d’approvisionner et de protéger la santé publique.
Entre autres, il y a eu un rapport publié dans le Los Angeles Times sur le firme pharmaceutique Merck qui aurait continué de fournir des vaccins pour enfants contenant du thimerosal, longtemps après avoir assuré qu’elle ne le faisait plus.
Il y a eu le retrait du marché du Vioxx, médicament vedette de Merck contre l’arthrite, après qu’il ait été montré qu’il augmentait les risques de crise cardiaque et d’accident cérébral.
Il y a eu l’ajout particulièrement inquiétant d’un message d’alerte encadré de noir sur les boites d’antidépresseurs, prévenant d’un risque accru de pensées et d’actes suicidaires pour certains adolescents, que ces pilules étaient censées prévenir.
Les vaccins ont une longue histoire de hauts et de bas dans l’estime du public.
Entre 1900 et 1902, par exemple, une épidémie de variole a touché Boston, infechant 3187 personnes, en tuant 284 et forçant les autorités médicales à menacer d’amende ou d’une peine de prison tout habitant qui refuserait de se faire vacciner. Environ un demi-million de Bostoniens on relevé leur manche pour la piqure – beaucoup de très mauvais gré.
Les contestataires se sont rués sur les tribunaux. Le cas Jacobson contre l’état du. Massachusetts, fut réglé en 1905 par un arrêt de la Cour Suprême des Etats Unis qui, dans un vote à 7 contre 2, a soutenu la protection de la communauté contre la liberté individuelle et a établi un précédent dans la loi sur la santé publique qui a perduré pour plus d’un siècle.
Depuis, les vaccins ont été attaqués pour un ensemble de maladies qui n’ont rien à voir avec eux, a écrit le Dr. Darshak Sanghavi, cardiologue pédiatrique à l’Ecole Médicale de l’Université du Massachusetts, dans un article publié dans le Boston Globe du 4 décembre 2005. Par exemple, le vaccin Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a été accusé de provoquer l’épilepsie et la mort subite du nourrisson, le vaccin contre l’hépatite B la mort subite du nourrisson et le syndrome de fatigue chronique, le vaccin Hib (contre la méningite bactérienne de type b) des diabètes de type 1, et le vaccin contre la maladie de Lyme l’arthrite.
Même leurs plus grands supporters admettent que, comme pour n’importe quel médicament, les vaccins ont un certain nombre d’effets secondaires : de la simple bosse rouge ou une douleur au site d’injection, et de la fièvre à de très rares attaques ou même à la mort.
Personne ne conserve de statistiques très précises de ces plaintes et le système de remontée des effets secondaires des vaccins ne fournit au mieux qu’une estimation imprécise.
"Nous avons environ 20000 rapports par an," a dit le Dr. Ben Schwartz, conseiller scientifique principal du gouvernement sur les vaccins.
"Tous ne sont pas de véritables réactions aux vaccins; beaucoup ne sont que des coïncidences (temporelles) avec la vaccination. Vous vous faîtes vacciner contre la grippe, vous l’attrapez deux jours après et vous dîtes 'J’ai attrapé la grippe à cause du vaccin,'" a-t-il ajouté. "C’est impossible parce que le vaccin de la grippe ne contient pas de virus vivant donc il ne peut en aucune manière provoquer la grippe.
"D’un autre côté; de véritables réactions mineures, rougeurs, bosses, fièvres, et même des réactions plus sérieuses ne sont pas remontés dans le système," a ajouté Schwartz. "Alors, vous ne pouvez pas l’utiliser pour quantifier le nombre de réactions. Il est utilisé pour générer de l’information, pour alerter sur un besoin éventuel d’études complémentaires."
Le fait que beaucoup de parents voient des signaux d’alertes sur la vaccination de leurs enfants est une cause de souci considérable pour les docteurs.
"C’est un souci important pour les pédiatres, et ça prend une part de plus en plus importante de notre temps quotidien parce que les parents sont effrayés de ce que nous provoquions l’autisme de leurs enfants en les vaccinant," a dit le Dr. Eileen Costello, pédiatre de l’Université de Boston.
"Dans mon cabinet, un grand nombre de parents refusent de faire vacciner leurs enfants, et rien que cela pose un énorme problème de santé publique parce que nous voyons maintenant revenir des maladies que nous savons prévenir par la vaccination et que nos enfants ne doivent pas subir."
Dans son cabinet, selon elle, les cas d’autisme restent constants parmi les enfants vaccinés ou pas.
Le Dr Prober de Stanford a dit que lui aussi, a vu "de nombreuses personnes intelligentes" sortir du cursus vaccinal.
Il se souvient d’avoir été l’invité de l’émission d’ABC "Good Morning America" le 5 janvier 2000, lorsqu’une autre invitée, le mannequin Cindy Crawford, a parlé de sa lutte pour se décider à vacciner ou non son premier né et de sa décision finale de refuser la vaccination.
"Comment les parents peuvent s’y retrouver parmi tant d’information?" s’est demandé Prober.
"Le conseil que je donne est 'Il est probable qu’en tant que parent, vous avez cherché avec attention un pédiatre pour lui confier la vie de votre enfant, et vous avez du respect pour ce que ce pédiatre peut faire pour votre enfant. Pourquoi ne laissez vous pas votre pédiatre compulser toute la (littérature) concernée et vous aider à prendre une décision judicieuse ?'" »
Les Centers for Disease Control and Prevention d’Atlanta signalent que, bien que plus de 90% des enfants entrant à l’école en 2003-2004 aient eu leurs vaccins infantiles, seul 79,4% étaient considérés comme totalement vaccinés par la fameuse suite 4:3:1:3:3. Elle inclut quatre doses de vaccin contre la diphtérie, tétanos et coqueluche, trois doses contre la polio, une dose contre la rubéole, trois doses contre le Hib et trois doses contre l’hépatite B.
Le but du programme de vaccination américain est de garder ce nombre au-dessus de 90% -- considéré comme étant le "seuil" critique à partir duquel la fameuse immunité de groupe s’amorce et la probabilité d’attraper une maladie diminue très vite
Peut-on faire changer d’avis un nombre croissant de parents – la plupart Blancs, mariés, ayant une éducation supérieure et gagnant plus de 65000€ par an selon une étude – et qui disent simplement "Non!" aux vaccins?
"C’est peut-être impossible," a admis le Dr Cheston Berlin Jr., pédiatre de l’année 2003 en Pennsylvanie, professeur en pédiatrie et pharmacologie à l’Hôpital Départemental pour Enfants de Pennsylvanie à Hershey, au Penn State Milton S. Hershey Medical Center et Penn State College of Medicine et directeur de la Phenylketonuria Clinic.
Du moins pas avant qu’il n’y ait un plus grand consensus sur l’existence d’une influence quelconque des vaccins sur l’avènement d’un âge de l’autisme moderne.

(Note: dans ce fascicule en plusieurs parties, reposant sur des dizaines de rapports, conférences et interviews, Ped Med garde un oeil sur l’autisme, considérant rétrospectivement son histoire et les controverses qui l’entourent, les faits révélés par la recherche et espérant des améliorations des traitement et des développements. Mme Wasowicz est l’auteur d’un livre très attendu, "Suffer the Child: How the American Healthcare System Is Failing Our Future," aux éditionsCapital Books.)