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18 mai 2021

Identifier les caractéristiques du langage expressif de l'enfance qui prédisent le mieux les résultats du langage et de la communication chez l'adulte chez les personnes avec un diagnostic de "trouble du spectre de l'autisme"

Aperçu: G.M.

Objectif
Plusieurs études ont rapporté que «la parole utile» à 5 ans prédit des résultats chez les personnes avec un diagnostic de "trouble du spectre de l'autisme" (dTSA), mais cette compétence a été vaguement définie. Cette étude examine quels aspects spécifiques du langage expressif chez les enfants avec un dTSA prédisent le mieux les résultats du langage et de la communication chez l'adulte. 

Méthode
Des échantillons de langue provenant de 29 enfants (âgés de 47 à 72 mois) inscrits à un projet longitudinal (p. Ex., Lord et coll., 2006) ont été transcrits et codés pour les caractéristiques de la langue parlée. Une régression linéaire hiérarchique a été utilisée pour comparer les variables suivantes de l'enfance en tant que prédicteurs du langage des adultes et des résultats de la communication: diversité des noms, diversité des verbes, longueur moyenne de l'énoncé et proportion d'énoncés socialement motivés. 

Résultats
La diversité verbale de l'enfance était un prédicteur à valeur ajoutée des quatre mesures de résultats pour adultes (c.-à-d. les scores au verbal IQ, Autism Diagnostic Observation Schedule Communication + Social Interaction Algorithm totals, Peabody Picture Vocabulary Test scores, and Vineland Adaptive Behavior Scales Communication Domain), tandis que le nom la diversité et la proportion d'énoncés à motivation sociale ne sont pas des prédicteurs à valeur ajoutée des mesures des résultats chez les adultes.
Dans un deuxième ensemble d'analyses de régression, la longueur moyenne de l'énoncé a été remplacée par la diversité des verbes et était un prédicteur à valeur ajoutée de deux des quatre mesures des résultats pour adultes (c.-à-d., les scores au verbal IQ and Vineland Adaptive Behavior Scales Communication Domain). Le schéma des résultats pour les autres prédicteurs est resté le même que dans les analyses précédentes. 

Conclusion
Ces résultats ont des implications pour notre compréhension du langage précoce dans les TSA et pour la prise de décision clinique dans la petite enfance.
 


. 2021 May 13;1-15. doi: 10.1044/2021_JSLHR-20-00544. 

Identifying Childhood Expressive Language Features That Best Predict Adult Language and Communication Outcome in Individuals With Autism Spectrum Disorder

Affiliations

Abstract

Purpose Several studies have reported that "useful speech" at 5 years of age predicts outcomes in individuals with autism spectrum disorder (ASD), but this skill has been vaguely defined. This study investigates which specific aspects of expressive language in children with ASD best predict adult language and communication outcomes. Method Language samples from 29 children (ages 47-72 months) enrolled in a longitudinal project (e.g., Lord et al., 2006) were transcribed and coded for spoken language features. Hierarchical linear regression was used to compare the following childhood variables as predictors of adult language and communication outcomes: noun diversity, verb diversity, mean length of utterance, and proportion of utterances that were socially motivated. Results Childhood verb diversity was a value-added predictor of all four adult outcome measures (i.e., verbal IQ, Autism Diagnostic Observation Schedule Communication + Social Interaction Algorithm totals, Peabody Picture Vocabulary Test scores, and Vineland Adaptive Behavior Scales Communication Domain scores), while noun diversity and proportion of utterances that were socially motivated were not value-added predictors of any adult outcome measures. In a second set of regression analyses, mean length of utterance was substituted for verb diversity and was a value-added predictor of two out of four adult outcome measures (i.e., verbal IQ and Vineland Adaptive Behavior Scales Communication Domain scores). The pattern of findings for the other predictors remained the same as in the previous analyses. Conclusion These results have implications for our understanding of early language in ASD and for clinical decision making in early childhood.

23 juillet 2019

Communications sociales concomitantes prédicteurs du langage expressif chez les enfants et les adolescents présentant une expression verbale minimale avec "trouble du spectre de l'autisme"

Aperçu: G.M.
De nombreuses études ont examiné les facteurs prédictifs du langage chez les tout-petits pré-verbaux et chez les enfants parlant couramment avec un diagnostic de "trouble du spectre de l'autisme" (dTSA). 
La présente étude a examiné les relations simultanées entre le langage expressif et un ensemble de variables de communication sociale sélectionnées de manière empirique - attention conjointe, imitation et jeu - un échantillon unique de 37 enfants et adolescents avec dTSA et peu verbaux (MV). 
Les résultats ont révélé que l’imitation et le jeu étaient significativement corrélés au langage expressif, même en contrôlant le QI non verbal, mais pas l’attention conjointe. 
L'imitation était la seule variable prédictive à atteindre une signification dans le modèle de régression. 
Les résultats démontrent que les prédicteurs du langage expressif varient d'une sous-population à l'autre du spectre autistique et ont de vastes répercussions sur la conception de l'intervention pour les personnes plus âgées atteintes de MV et avec un dTSA.

2019 Jun 11. doi: 10.1007/s10803-019-04089-8.

Concurrent Social Communication Predictors of Expressive Language in Minimally Verbal Children and Adolescents with Autism Spectrum Disorder

Author information

1
Department of Psychological & Brain Sciences, Boston University, Boston, MA, 02215, USA. mpecukon@bu.edu.
2
Center for Autism Research Excellence, Boston, MA, 02215, USA. mpecukon@bu.edu.
3
Department of Psychological & Brain Sciences, Boston University, Boston, MA, 02215, USA.
4
Center for Autism Research Excellence, Boston, MA, 02215, USA.

Abstract

Numerous studies have investigated the predictors of language in pre-verbal toddlers and verbally fluent children with autism spectrum disorder (ASD). The present study investigated the concurrent relations among expressive language and a set of empirically-selected social communication variables-joint attention, imitation, and play-in a unique sample of 37 minimally verbal (MV) children and adolescents with ASD. Results revealed that imitation and play were significantly correlated with expressive language, even when controlling for non-verbal IQ, but joint attention was not. Imitation was the only predictor variable to reach significance within the regression model. Findings demonstrate that predictors of expressive language vary for subpopulations of the autism spectrum, and have broader implications for intervention design for older, MV individuals with ASD.
PMID:31187332
DOI:10.1007/s10803-019-04089-8

04 décembre 2017

Une méta-analyse de l'association entre les vocalisations et le langage expressif chez les enfants avec un diagnostic de "troubles du spectre de l'autisme"

Aperçu: G.M.
Cibler la fréquence ou la complexité des vocalisations pré-linguistiques pourrait améliorer la trajectoire langagière des enfants avec un diagnostic de trouble du spectre de l'autisme (dTSA) qui présentent des déficits continus du langage expressif.
Cette méta-analyse évalue la force de l'association entre différentes mesures de vocalisations et le langage expressif chez les jeunes enfants avec un dTSA et cinq modérateurs putatifs de cette association pour éclairer le développement d'une intervention pré-linguistique.
Neuf études (19 rapports), comprenant 362 participants et 109 tailles d'effets uniques, répondaient aux critères d'inclusion. La taille moyenne pondérée de l'effet entre les vocalisations et le langage expressif était significative (r = 0,50, IC 95% [0,23, 0,76]). Comme prévu, les corrélations simultanées étaient significativement plus fortes que les corrélations longitudinales. Les autres effets du modérateur n'ont pas été détectés.Les jeunes enfants avec un dTSA démontrent une forte association entre les vocalisations et les compétences langagières expressives.  
Les futures études expérimentales devraient étudier les relations causales pour guider le développement de l'intervention.

Res Dev Disabil. 2017 Nov 28;72:202-213. doi: 10.1016/j.ridd.2017.11.010.

A meta-analysis of the association between vocalizations and expressive language in children with autism spectrum disorder

Abstract

BACKGROUND:

Targeting the frequency or complexity of prelinguistic vocalizations might improve the language trajectory of children with autism spectrum disorder (ASD) who exhibit continued expressive language deficits.

AIMS:

This meta-analysis evaluates the strength of the association between various measures of vocalizations and expressive language in young children with ASD and five putative moderators of that association to inform prelinguistic intervention development: consonant-centricity, communicativeness, concurrent versus longitudinal research design, risk for correlated measurement error, and publication status.

METHODS AND PROCEDURES:

We systematically searched databases and other sources for correlations between vocalizations and expressive language in children with ASD less than 9 years old. Using robust variance estimation, we calculated the weighted mean effect size and conducted moderator analyses.

OUTCOMES AND RESULTS:

Nine studies (19 reports), which included 362 participants and 109 unique effect sizes, met inclusion criteria. The weighted mean effect size between vocalizations and expressive language was significant (r=0.50, 95% CI [0.23, 0.76]). As predicted, concurrent correlations were significantly stronger than longitudinal correlations. Other moderator effects were not detected.

CONCLUSIONS AND IMPLICATIONS:

Young children with ASD demonstrate a strong association between vocalizations and expressive language skills. Future experimental studies should investigate causal relations to guide intervention development.
PMID:29195157
DOI:10.1016/j.ridd.2017.11.010

04 avril 2017

Répétition intacte des mots inexistants mot et schémas d'erreurs similaires chez des enfants appariés au langage et ayant un diagnostic de troubles du spectre de l'autisme: une étude pilote

Aperçu: G.M.
L'étude visait à vérifier si l'amélioration de la mémoire auditive à court terme peut contribuer à l'apprentissage de nouvelles formes de mots chez les enfants avec un diagnostic de trouble du spectre de l'autisme. Elle a également permis d'évaluer si des processus cognitifs et cognitifs retardés, mais qualitativement normaux, sous-tendent la répétition des mots inexistants dans cette population grâce à une analyse détaillée des erreurs. 
L'étude portait sur des enfants anglophones avec (qui ont connu un retard significatif dans le langage)et sans diagnostic de TSA appariés par paire sur la capacité linguistique dont les résultats à la tâche de répétition de syllabeont été comparés.

Tous les enfants ont présenté une meilleure performance sur les stimuli d'une longueur de syllabe plus courte et plus longue. En outre, il y avait une interaction significative dans laquelle les enfants avec un diagnostic de TSA se comportaient mieux que les enfants qui développaient sans TSA sur la longueur des syllabes. La précision de la répétition a été significativement corrélée avec le niveau de langue dans les deux groupes. En revanche, la relation entre la précision de la répétition et l'âge n'a été que légèrement significative dans le groupe du trouble du spectre de l'autisme et n'a pas eu d'importance dans le groupe qui se développe sans TSA.

Ces résultats élargissent la preuve de la répétition non verbale différée, mais qualitativement antérieure, décrite précédemment chez les préadolescents avec un diagnostic de TSA(Williams et al., 2013) et des retards linguistiques indiquant que la répétition des mots inexistants n'est pas une zone de difficulté spécifique pour cette population.

J Commun Disord. 2017 Mar 18;66:13-21. doi: 10.1016/j.jcomdis.2017.03.003.

Intact non-word repetition and similar error patterns in language-matched children with autism spectrum disorders: A pilot study

Author information

1
McGill University School of Communication Sciences and Disorders, 2001 Avenue McGill College Suite 800, Montreal, Quebec, H3A 1G1, Canada; Centre for Research on Brain, Language & Music, McGill University, Montreal, Quebec, Canada. Electronic address: aparna.nadig@mcgill.ca
2
McGill University School of Communication Sciences and Disorders, 2001 Avenue McGill College Suite 800, Montreal, Quebec, H3A 1G1, Canada.

Abstract

PURPOSE:

We investigated whether enhanced auditory short-term memory may contribute to the learning of novel word forms in children with Autism Spectrum Disorder. We also evaluated whether delayed but qualitatively normal, versus atypical, cognitive processes underlie non-word repetition in this population via a detailed error analysis.

METHOD:

English-speaking children with Autism Spectrum Disorder (who had significant language delay) and typically-developing children matched pairwise on language ability were compared on the Syllable Repetition Task (Shriberg et al., 2009).

RESULTS:

All children exhibited better performance on stimuli of shorter vs. longer syllable length. In addition there was a significant interaction whereby children with Autism Spectrum Disorder performed better than typically-developing children at the longest syllable length. Repetition accuracy was significantly correlated with language level in both groups. In contrast, the relationship between Repetition accuracy and age was only marginally significant in the Autism Spectrum Disorder group and did not reach significance in the typically-developing group. This underscores the importance of language level to non-word repetition performance, and supports the practice of matching on language rather than age alone. An error analysis (Shriberg et al., 2012) showed many similarities between groups in terms of number of consonants deleted, encoding accuracy, and transcoding accuracy components of the task. However the Autism Spectrum Disorder group tended to display better auditory short-term memory with a medium effect size, though this did not reach significance given the small sample size.

CONCLUSION:

These findings extend evidence of delayed but qualitatively normal non-word repetition previously described in preadolescents with Autism Spectrum Disorder (Williams et al., 2013) to younger kindergarten-age children with Autism Spectrum Disorder and language delay, indicating that non-word repetition is not an area of specific difficulty for this population. With respect to enhanced auditory short-term memory, we found preliminary evidence of better memory for longer nonwords in children with Autism Spectrum Disorder compared to younger typically developing children who were matched on language.
PMID: 28349875
DOI: 10.1016/j.jcomdis.2017.03.003

25 juillet 2016

*Promouvoir le langage expressif chez de jeunes enfants présentant un trouble ou à risque de trouble du spectre de l'autisme dans une salle de classe préscolaire

Traduction expresse: G.M.

J Autism Dev Disord. 2016 Jul 15.

Promoting Expressive Language in Young Children with or At-Risk for Autism Spectrum Disorder in a Preschool Classroom

Author information

  • 1Department of Early Childhood and Special Education, University of Kentucky, 229 Taylor Education Building, Lexington, KY, 40508, USA. justin.lane@uky.edu
  • 2Department of Early Childhood and Special Education, University of Kentucky, 229 Taylor Education Building, Lexington, KY, 40508, USA.
  • 3Department of Communication Sciences and Special Education, University of Georgia, 552 Aderhold Hall, Athens, GA, 30602, USA.

Abstract

Young children with autism spectrum disorder (ASD) often demonstrate delays in expressive communication, impacting their ability to independently function in typical environments. Individuals with ASD who develop expressive language during early childhood experience better outcomes later in life; therefore, examination of naturalistic language interventions (NLIs) remain an important area of investigation. The current study used a multiple probe design across participants to examine the effects of a classroom-based NLI on various expressive language targets in three preschool-aged children demonstrating characteristics of ASD. Findings suggest the intervention had positive and maintained effects on trial-based use of language targets, as well as concomitant changes in commenting, requesting, and phrase complexity. Implications regarding implementation of NLIs within typical classroom play activities are discussed.
Les jeunes enfants présentant des troubles du spectre de l'autisme (TSA) démontrent souvent des retards dans la communication expressive, affectant leur capacité à fonctionner de façon autonome dans des environnements typiques. Les personnes avec TSA qui développent un langage expressif pendant la petite enfance connaissent de meilleurs résultats plus tard dans la vie; Par conséquent, l'examen des interventions linguistiques naturalistes (NLIs) demeurent un important domaine d'investigation. 
L'étude actuelle a utilisé une conception de sonde multiple pour les participants afin d'examiner les effets d'une NLI en classe sur les différentes cibles de langage expressif chez trois enfants d'âge préscolaire présentent les caractéristiques des TSA.  
Les résultats suggèrent que l'intervention a eu des effets positifs et a maintenu sur ses effets sur les essais utilisés sur les cibles de la langue, ainsi que des changements concomitants dans les commentaires, les demandes et la complexité de la phrase complexité.  
Les Implications concernant la mise en œuvre des NLIs dans les activités ludiques typique en classe sont discutées.
PMID: 27422402

23 octobre 2014

Comparaison des profils linguistiques expressifs réceptifs entre les tout-petits avec des troubles du spectre autistique et ceux avec un retard de développement du langage

Traduction: G.M.

Yonsei Med J. 2014 Nov 1;55(6):1721-8. doi: 10.3349/ymj.2014.55.6.1721.

A Comparison of Receptive-Expressive Language Profiles between Toddlers with Autism Spectrum Disorder and Developmental Language Delay

Author information

  • 1Division of Child and Adolescent Psychiatry, Department of Psychiatry and Institute of Behavioral Science in Medicine, Yonsei University College of Medicine, Seoul, Korea.
  • 2Department of Communication Disorder, Ewha Woman's University, Seoul, Korea.
  • 3Division of Child and Adolescent Psychiatry, Department of Psychiatry, Konyang University College of Medicine, Daejeon, Korea.
  • 4Division of Child and Adolescent Psychiatry, Department of Psychiatry and Institute of Behavioral Science in Medicine, Yonsei University College of Medicine, Seoul, Korea. kacheon@yuhs.ac

Abstract

PURPOSE:

It is well known that expressive language impairment is commonly less severe than receptive language impairment in children with autism spectrum disorder (ASD). However, this result is based on experiments in Western countries with Western language scales. This study tries to find whether the result above is applicable for toddlers in a non-Western country; more specifically, in Korea with non-Western language scales.
Il est bien connu que les troubles du langage expressif sont généralement moins sévères que les troubles du langage réceptifs chez les enfants avec des troubles du spectre autistique (TSA). Cependant, ce résultat est basé sur des expériences dans les pays occidentaux avec des échelles de langues occidentales. Cette étude tente de trouver si le résultat ci-dessus est applicable pour les tout-petits dans un pays non occidental; plus spécifiquement, en Corée avec des échelles de langue non-occidentales.

MATERIALS AND METHODS:

The participants were 166 toddlers aged between 20 months and 50 months who visited the clinic from December 2010 to January 2013. The number of toddlers diagnosed as ASD and developmental language delay (DLD) was 103 and 63, respectively. Language development level was assessed using Sequenced Language Scale for Infants (SELSI), a Korean language scale. Using SELSI, each group was divided into 3 sub-groups. Moreover, the group difference by age was observed by dividing them into three age groups. Chi-square test and linear-by-linear association was used for analysis.
Les participants étaient 166 jeunes enfants âgés entre 20 mois et 50 mois qui ont visité la clinique de Décembre 2010 à Janvier 2013Le nombre de tout-petits diagnostiqués avec TSA ou un retard de développement du langage (DLD) était respectivement de 103 et 63. Le niveau de développement du langage a été évalué à l'aide de l'échelle du langage séquencé pour nourrissons (SELSI), une échelle de langue coréenne. Avec l'utilisation SELSI, chaque groupe a été divisé en trois sous-groupes. En outre, la différence entre les groupes par âge a été observée en les divisant en trois groupes d'âge. Un test Chi-carré et  association linéaire  ont été utilisés pour l'analyse.

RESULTS:

Receptive language ability of the DLD group was superior to that of the ASD group in all age groups. However, expressive language ability in both groups showed no difference in all age groups. A greater proportion of expressive dominant type was found in ASD. The 20-29 months group in ASD showed the largest proportion of expressive language dominant type in the three age groups, suggesting that the younger the ASD toddler is, the more severe the receptive language impairment is.
Les capacités dans le langage réceptif du groupe DLD était supérieure à celle du groupe de TSA dans tous les groupes d'âge. Toutefois, la capacité du langage expressif dans les deux groupes n'a montré aucune différence dans tous les groupes d'âge. Une plus grande proportion de type dominant d'expression a été trouvée dans les TSA. Le groupe 20-29 mois avec autisme a montré la plus grande proportion de type dominant du langage expressif dans les trois groupes d'âge, ce qui suggère que plus l'enfant avec TSA est jeune, plus la déficience du langage réceptif est sévère.

CONCLUSION:

These findings suggest that receptive-expressive language characteristics in ASD at earlier age could be useful in the early detection of ASD.
Ces résultats suggèrent que les caractéristiques précoces du langage réceptif-expressif dans le TSA pourraient être utiles dans la détection précoce du TSA.
PMID: 25323912

19 octobre 2013

Fine motor skill predicts expressive language in infant siblings of children with autism

Traduction partielle : G.M.


Source

Department of Psychology, University of Pittsburgh, USA.

Abstract

Nous avons vérifié si les compétences en motricité fine et en langage expressif sont liés chez les frères et soeurs nés plus tard des enfants avec autisme ( risque accru, nourrissons à haut risque RH ) qui sont à risque accru de retard de langage .

We observed 34 HR infants longitudinally from 12 to 36 months. We used parent report and standardized observation measures to assess fine motor skill from 12 to 24 months in HR infants (Study 1) and its relation to later expressive vocabulary at 36 months in HR infants (Study 2). In Study 1, we also included 25 infants without a family history of autism to serve as a normative comparison group for a parent-report fine motor measure.

Nous avons constaté que les nourrissons RH  montrent des retards de motricité fine entre 12 et 24 mois et des retards de vocabulaire expressif à 36 mois. En outre , l'habileté motrice fine prédit de façon significative le langage expressif à 36 mois .  
Les compétences en motricité fin et en langage expressif sont liées au début du développement chez les nourrissons RH, qui , en tant que groupe , présentent des risques pour les retards pour les deux. 
Nos résultats soulignent l' importance de tenir compte des compétences en motricité fine chez les enfants à risque de troubles du langage et peuvent avoir des implications pour l'identification précoce des difficultés de langage expressif.



PMID: 24118709