Aperçu: G.M.
Le
but de cette étude était d'examiner la confluence des facteurs de
risque génétiques et familiaux chez les enfants avec un diagnostic de "trouble du spectre de l'autisme" (dTSA) avec des événements génétiques de novo
distincts. L'équipe a émis l'hypothèse que des mutations perturbant les gènes seraient
associées à des taux réduits de troubles psychiatriques familiaux par
rapport aux mutations structurelles. Les
participants comprenaient des familles d'enfants avec dTSA en
quatre groupes: variations de nombre de copies de duplication (DUP, n =
62), variations de nombre de copies de suppression (DEL, n = 74),
mutations de novo susceptibles de perturber le gène (LGDM, n = 267), et les enfants sans étiologie génétique connue (NON, n = 2111).
Les taux familiaux de troubles psychiatriques ont été calculés à partir d'entrevues semi-structurées. Les
résultats ont indiqué des taux globaux accrus de troubles
psychiatriques dans les familles DUP par rapport aux familles DEL et
LGDM, spécifiques aux antécédents psychiatriques paternels, et
particulièrement évident pour les troubles dépressifs.
Des
taux plus élevés de troubles dépressifs dans les antécédents
psychiatriques maternels ont été observés dans l'ensemble par rapport
aux antécédents paternels et des taux plus élevés de troubles anxieux
ont été observés dans les histoires paternelles pour les familles LGDM
par rapport aux familles DUP.
Ces résultats renforce l'idée qu'une contribution additive de
l'étiologie génétique et des facteurs familiaux sont associés au risque
de TSA et mettent en évidence le besoin critique d'un travail continu
ciblant ces relations.
Cliquer ICI pour accéder à l'intégralité de l'article en anglais
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Autism Res Treat. 2017;2017:9371964. doi: 10.1155/2017/9371964. Epub 2017 Nov 8.
Associations between Familial Rates of Psychiatric Disorders and De Novo Genetic Mutations in Autism
Luhrs K1, Ward T2, Hudac CM3, Gerdts J3, Stessman HAF4,5, Eichler EE4,6, Bernier RA3.
Author information
- 1
- University of Washington School of Medicine, Seattle, WA 91895, USA.
- 2
- School of Psychology, Family, and Community, Seattle Pacific University, Seattle, WA 98119, USA.
- 3
- Department of Psychiatry and Behavioral Sciences, University of Washington, Seattle, WA 91895, USA.
- 4
- Department of Genome Sciences, University of Washington, Seattle, WA 91895, USA.
- 5
- Department of Pharmacology, Creighton University Medical School, Omaha, NE 68178, USA.
- 6
- Howard Hughes Medical Institute, Seattle, WA 91895, USA.
Abstract
The purpose of this study was to examine the confluence of genetic and familial risk factors in children with Autism Spectrum Disorder
(ASD) with distinct de novo genetic events. We hypothesized that
gene-disrupting mutations would be associated with reduced rates of
familial psychiatric disorders relative to structural mutations.
Participants included families of children with ASD in four groups: de
novo duplication copy number variations (DUP, n = 62), de novo deletion copy number variations (DEL, n = 74), de novo likely gene-disrupting mutations (LGDM, n = 267), and children without a known genetic etiology (NON, n
= 2111). Familial rates of psychiatric disorders were calculated from
semistructured interviews. Results indicated overall increased rates of
psychiatric disorders in DUP families compared to DEL and LGDM families,
specific to paternal psychiatric histories, and particularly evident
for depressive disorders. Higher rates of depressive disorders in
maternal psychiatric histories were observed overall compared to
paternal histories and higher rates of anxiety disorders were observed
in paternal histories for LGDM families compared to DUP families. These
findings support the notion of an additive contribution of genetic
etiology and familial factors are associated with ASD risk and highlight
critical need for continued work targeting these relationships.
- PMID:29250444
- PMCID:PMC5698792
- DOI:10.1155/2017/9371964