Aperçu: G.M.
Le but de cette étude était d'examiner si la ligne de base du stress chronique
et la prise de risque impulsif prédisaient de manière synergique des
changements dans la graisse viscérale chez les mères en bonne santé dans
une étude observationnelle longitudinale de 18 mois
Une cohorte prospective de 113 femmes adultes (âge, moyenne ± ET: 42,83 ± 4,70, IMC, moyenne ± SD: 24,86 ± 4,32, 74%, n = 84 blanc) a terminé les évaluations au départ et à 18 mois de suivi. Les mères stressées chroniquement qui s'occupent d'un enfant avec un diagnostic de "trouble du spectre de l'autisme" («soignants», n = 72 participants) ont été comparées aux mères moins stressées qui s'occupaient d'un enfant neurotypique («témoins», n = 41).
Une cohorte prospective de 113 femmes adultes (âge, moyenne ± ET: 42,83 ± 4,70, IMC, moyenne ± SD: 24,86 ± 4,32, 74%, n = 84 blanc) a terminé les évaluations au départ et à 18 mois de suivi. Les mères stressées chroniquement qui s'occupent d'un enfant avec un diagnostic de "trouble du spectre de l'autisme" («soignants», n = 72 participants) ont été comparées aux mères moins stressées qui s'occupaient d'un enfant neurotypique («témoins», n = 41).
Cette étude a objectivement évalué la prise de risque impulsif en
utilisant la tâche de comportement comportemental analogique au départ
et a évalué la graisse viscérale au départ et 18 mois de suivi en
utilisant l'impédance bioélectrique (ViScan, Tanita Corporation, Tokyo,
Japon).L'interaction
entre le stress chronique et la prise de risque impulsif a prédit une
variation de 18 mois de la graisse viscérale, de sorte qu'une prise de
risque plus impulsive était associée à une augmentation de 18 mois de la
graisse viscérale chez les soignants (ß = 0,423; p = 0,005 ) mais pas parmi les témoins (ß = -0,030, p = 0,802), tant dans les modèles non ajustés que dans les covariables. Ni le stress chronique ni la prise de risque impulsif n'ont prédit des changements de 18 mois dans la graisse viscérale.
La combinaison d'un stress chronique élevé et d'une prise de risque impulsive élevée peut augmenter le risque de gain de graisse viscérale au fil du temps et peut donc être une cible d'intervention importante dans la prévention de l'obésité.
La combinaison d'un stress chronique élevé et d'une prise de risque impulsive élevée peut augmenter le risque de gain de graisse viscérale au fil du temps et peut donc être une cible d'intervention importante dans la prévention de l'obésité.
Obesity (Silver Spring). 2018 Mar 22. doi: 10.1002/oby.22150.
Chronic Stress and Impulsive Risk-Taking Predict Increases in Visceral Fat over 18 Months
Mason AE1,2, Schleicher S1, Coccia M2,3, Epel ES2,3, Aschbacher K4.
Author information
- 1
- Osher Center for Integrative Medicine, University of California, San Francisco, San Francisco, California, USA.
- 2
- Department of Psychiatry, University of California, San Francisco, San Francisco, California, USA.
- 3
- Center for Health and Community, University of California, San Francisco, San Francisco, California, USA.
- 4
- Department of Medicine, Division of Cardiology, University of California, San Francisco, San Francisco, California, USA.
Abstract
OBJECTIVE:
The aim of this study was to examine whether baseline chronic stress and impulsive risk-taking synergistically predict changes in visceral fat among healthy mothers in an observational, longitudinal, 18-month study.METHODS:
A prospective cohort of 113 adult women (age, mean ± SD: 42.83 ± 4.70; BMI, mean ± SD: 24.86 ± 4.32; 74%, n = 84 white) completed assessments at baseline and 18-month follow-up. Chronically stressed mothers caring for a child with an autism spectrum disorder ("caregivers"; n = 72 participants) were compared with lower stress mothers caring for a neurotypical child ("controls"; n = 41). This study objectively assessed impulsive risk-taking by using the Behavioral Analog Risk Task at baseline and assessed visceral fat at baseline and 18-month follow-up by using bioelectrical impedance (ViScan; Tanita Corporation, Tokyo, Japan).RESULTS:
The interaction of baseline chronic caregiving stress and impulsive risk-taking predicted an 18-month change in visceral fat, such that greater impulsive risk-taking was associated with greater 18-month increases in visceral fat among caregivers (ß = 0.423; P = 0.005) but not among controls (ß = -0.030; P = 0.802), both in unadjusted models and after accounting for covariates. Neither chronic stress nor impulsive risk-taking independently predicted 18-month changes in visceral fat.CONCLUSIONS:
The combination of high chronic stress and high impulsive risk-taking may increase risk for visceral fat gain over time and therefore may be an important intervention target in obesity prevention.
© 2018 The Obesity Society.
- PMID:29566458
- DOI:10.1002/oby.22150