01 novembre 2011

The impact of serotonin transporter (5-HTTLPR) genotype on the development of resting-state functional connectivity in children and adolescents: A pre

Traduction: G.M.

L'impact du génotype de transporteur (5-HTTLPR) de la sérotonine sur le développement de l'état de repos connectivité fonctionnelle chez les enfants et les adolescents: rapport préliminaire

Wiggins JL, Bedoyan JK, Peltier, SJ, Ashinoff S, M Carrasco, Weng SJ, gallois RC, Martin DM, Monk CS.

Source
Département de psychologie, Université du Michigan, Ann Arbor, MI, États-Unis.

Résumé
Une composante fondamentale du développement du cerveau est la formation de réseaux à grande échelle à travers le cortex. Un de ces réseaux, le réseau par défaut, subit une évolution prolongée, affichant une connectivité faible dans l'enfance à l'adolescence, qui renforce et devient plus robuste à l'âge adulte. On en sait peu au sujet de la contribution génétique à la connectivité réseau par défaut à l'âge adulte ou pendant le développement. Les altérations de la connectivité entre les parties postérieures et frontales du réseau par défaut ont été associées à plusieurs troubles psychologiques, y compris l'anxiété, les troubles du spectre autistique, la schizophrénie, la dépression et le trouble de l'attention avec hyperactivité.
Ces troubles ont également été liés à des variantes de la région polymorphe lié au transporteur de la sérotonine (5-HTTLPR). L'allèle L(A) de 5-HTTLPR a pour conséquence une expression plus élevée du transporteur de la sérotonine que l'allèle S ou le plus rare allèle L(G).
5 HTTLPR peut influencer la connectivité du réseau par défaut, la région supérieure frontale médiane a été reconnue comme étant sensible aux changements de sérotonine. En outre, la sérotonine comme un facteur de croissance précoce dans le développement peut modifier à grande échelle des réseaux comme le réseau par défaut. La présente étude a examiné l'influence des variantes de la 5-HTTLPR sur la connectivité entre les structures postérieures et frontales et son développement dans une étude transversale de 39 enfants et adolescents en bonne santé. Nous avons constaté que les enfants et les adolescents homozygotes pour l'allèle S (S / S, n = 10) ont montré plus faible connectivité du cortex frontal supérieur médian par rapport à ceux homozygotes pour l' allèle L(A) (L(A)/L(A), n=13)) ou hétérozygotes (S / L (A), S / L (G), n = 16)).
En outre, il y avait une interaction âge-par-génotype, tels que ceux avec le génotype L(A)/L(A) avaient l'augmentation plus raide liées à l'âge de connectivité entre le moyeu postérieur et supérieur du cortex frontal médial, suivi par les hétérozygotes.

En revanche, les individus ayant le génotype S/S a avaient une augmentation moins liée à l'âge effectif de la connectivité.
Ce rapport préliminaire élargit notre compréhension de l'influence génétique sur le développement de la connectivité cérébrale à grande échelle et pose les bases pour de futures recherches et la réplication des résultats avec un échantillon plus large.

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