Traduction expresse: G.M.
Le fondement du développement des capacités visuo-motrices et la nature causale de la maladresse motrice dans les dysfonctions cognitives et empathiques
Source
Melbourne, VIC, Australie, hinemoa@bigpond.net.au
Résumé
Les troubles moteurs sont un élément important de plusieurs troubles psychiatriques, dont l'autisme et la schizophrénie.
Le texte prolonge l'idée d'une association causale entre la rétroaction motrice et le caractère cognitif du cerveau.
Tout d'abord, il élabore une théorie détaillée de la façon dont la fonction motrice et les transformations visuelles sont codées sous forme d'un algorithme cortical.
Le mécanisme de la copie efférente motrice est proposé pour toutes les formes de développement cognitif.
Un cas particulier d'une théorie composante de la copie efférente est reconsidéré en ce qui concerne la propriété de la voie dorsale de conscience de l'espace, en plus de son rôle dans la formulation des répertoires moteurs.
La composante spatiale de sensibilisation au sein de chacunes et de toutes les modalités sensorielles, y compris la proprioception elle-même, est compromise par l'échec de la contribution du cervelet.
Cela ne veut pas dire que le signal proprioceptif périphérique est défectueux. Il s'agit plutôt d'une capacité aberrante de la réafférence prédictive médiée par le cervelet .
Normalement considéré comme une sortie d'anticipation des changements dans les positions des articulations dans le cadre d'une action planifiée, la proposition est pour les conséquences de ces actions de catégoriser les réseaux corticaux comme une copie de rétroaction.
Cela nous conduit directement à des troubles de plus haut niveau d'attention, de théorie de l'esprit, et finalement empathiques pour les sujets autistes. La cognition et l'empathie sont incarnées par le processus d'exploration active d'un organisme et sont tributaires de l'intégrité des structures qui supervisent les aspects du comportement moteur.
La cible principale ici est le cervelet, un organe impliqué au sens large dans la physiopathologie de l'autisme.
Ce que nous enseigne l'autisme, c'est que l'empathie est une construction de la conscience de l'espace.
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