Aperçu: G.M.
Cette étude a comparé l'accès contingent et non contingent aux chiens de thérapie lors de tâches éducatives pour les enfants avec un trouble du spectre de l'autisme en utilisant un modèle à éléments multiples. Les expérimentateurs ont évalué si la préférence initiale du chien prédit l'efficacité du renforçateur et comment cette préférence a changé au fil du temps. Un taux de réponse plus élevé lors des séances avec chien contingent par rapport aux séances de base a été observé chez 4 participants sur 5, ce qui suggère que le chien a joué le rôle de renforçateur. Un participant a eu un taux de réponse élevé dans les condition avec ou sans chien contingent. Les évaluations des préférences ont révélé des idiosyncrasies, ce qui suggère que des recherches supplémentaires sont nécessaires sur la nature prédictive des évaluations initiales des préférences avec des animaux faisant partie du réseau de stimulus. Les expérimentateurs ont également analysé le cortisol salivaire avant et après les séances pour déterminer si l’apprentissage de la prochaine interaction avec un chien réduisait le cortisol salivaire chez les enfants. Le cortisol était variable selon les participants, seuls quelques-uns tirant un bénéfice physiologique potentiel d'une interaction avec le chien.
J Appl Behav Anal. 2019 Aug 4. doi: 10.1002/jaba.619.
Comparison of contingent and noncontingent access to therapy dogs during academic tasks in children with autism spectrum disorder
Protopopova A1, Matter AL1, Harris BN1, Wiskow KM2, Donaldson JM3.
Author information
- 1
- Texas Tech University.
- 2
- California State University, Stanislaus.
- 3
- Louisiana State University.
Abstract
This study compared contingent and noncontingent access to therapy dogs during educational tasks for children with autism spectrum disorder
using a multielement design. The experimenters assessed whether initial
preference for the dog predicted reinforcer efficacy and how preference
changed across time. A higher response rate during contingent dog
sessions than baseline sessions occurred for 4 out of 5 participants,
suggesting that the dog functioned as a reinforcer. One participant
engaged in a high rate of responding in both contingent and
noncontingent dog conditions. Preference assessments revealed
idiosyncrasies, suggesting that further research is needed into the
predictive nature of initial preference assessments with animals as part
of the stimulus array. The experimenters also analyzed salivary
cortisol before and after sessions to determine if learning about the
upcoming interaction with a dog reduced salivary cortisol in children.
Cortisol was variable across participants, with only some deriving a
potential physiological benefit from expecting to interact with the dog.
© 2019 Society for the Experimental Analysis of Behavior.
- PMID:31378932
- DOI: 10.1002/jaba.619
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